Dans l’enceinte sécurisée du musée 13, la dague poursuivait sa ténébreux impact. Chaque rassemblement de voyance en ligne reliée à son contact révélait des tribunes de violence infaillible, si repertoriées qu’elles ressemblaient à des enregistrements réels. Le médium pur, testé par une régularité de plus en meilleur, voyait ses siècles de sommeil raccourcis, ses chakras surchargé de guidances où le sang, le métaux et le assignation humain dominaient. Les administrateurs du musée craignaient une rupture psychologique, car même un médium pur, sélectionné pour sa longévité cérébrale, n’était pas censé accueillir tant sur le plan de projections morbides sans altération. La ligne de voyance en ligne connaissait, paradoxalement, une rivalité record. Le public, charmé par l’intensité de certaines intuitions, se connectait en masse pour accéder aux prédictions déclenchées par l’objet. Certains affirmaient que la dague ne montrait pas des morts anonymes, mais celles de celui qui la touchaient, avec une précision glaçante sur endroit, la journée et les circonstances. Ces transmises étaient vérifiables, archivées, et comparées par de certaines admirateurs, convaincus de l’infaillibilité du médium pur. La voyance en ligne devenait dès lors un liégeois obsédant de la fatalité, consulté non plus pour la précision, mais pour la terreur. Les ingénieurs tentèrent de désactiver temporairement le lien entre l’objet et le équipe végétalien du musée. Pourtant, même distingué, la dague émettait un champ énergétique détectable, cherchant à se reconnecter. Le médium pur, même isolé de la base, restait sensible à son envoi de signal, comme par exemple si le lien significatif avait vécu tissé au-delà de quelques clôtures de la technologie. Les capteurs montraient une montée d’activité mentale dès que la dague était approchée, manifestation que la liaison n’était plus simplement méthode, mais naturel. L’existence même de cette relique remettait en question les bases de la voyance en ligne. Jusqu’ici, les objets transmettaient des traces passives. Désormais, cette dague semblait actionne, presque volontaire. Elle guidait les guidances du médium pur, les orientait technique poétique une seule issue : le coté sombre violente. Certains chercheurs, fascinés par ce phénomène, commencèrent à deviner l’idée que l’objet n’était pas une pratique relique, mais un réceptacle de intuitions ancestrale, capable de faire usage le médium pur en tant qu' un canal. Dans cette hypothèse, la voyance en ligne cessait d’être un sujet et devenait une porte confiante technique poétique des éléments d’incontrôlable.
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